Alain Oguse a appris le tirage photographique avec Claudine et Jean-Pierre Sudre à la fin des années 1960, et a effectué son début de carrière en photographie commerciale. Après avoir pris sa retraite, il a commencé à chercher des méthodes permettant de retrouver le grain argentique dans les numérisations de négatifs, avec la même netteté et qualité que ce qu’il obtenait en lumière quasi-ponctuelle sous l’agrandisseur, dans les années 1970.
Le flux de travail relatif à la scène promet une retouche indépendante du medium de sortie. Il va typiquement produire une image encodée en sRGB sur 8 bits, c’est à dire des valeurs codées entre 0 et 255. Pour simplifier, nous allons nous limiter au cas 8 bits dans la suite. Les concepts demeurent en 16 bits, la différence est que la plage d’encodage va de 0 à 65535, ce qui est un détail.
Voici comment démarrer avec la retouche dans Ansel, en passant par les étapes les plus basiques qui vous serviront fidèlement dans la plupart des cas.
Cette video a été enregistrée sur Darktable 3, mais les mêmes modules et principes s’appliquent à Ansel.
Cet article montre comment effectuer un ton monochrome sur des images numériques dans Ansel, afin d’émuler le rendu des couleurs des développements type cyanotype, platinotype, sépia et virage partiel.
Etape 0 : préparation globale Réglez l’exposition globale ainsi que l’exposition relative du blanc et du noir dans filmique RVB comme pour toute autre opération d’édition. Voir retouche de base. Voici notre image de base de Glenn Butcher :
Si vous partez d’une image couleur, vous devez la transformer en noir et blanc : la méthode recommandée est de passer par le module calibration des couleurs, en utilisant les presets N&B.
Dans cet article, vous apprendrez ce qu’est le flux de travail relatif à la scène, comment Ansel l’utilise et en quoi il profite au traitement d’image numérique en général.